La prêle des champs est une plante dont l’origine remonte à la préhistoire. On estime à plus de 375 millions d’années son apparition. Ce sont ses tiges vertes qui lui confèrent ses vertus médicinales. Au XVIIe siècle, en Europe, on utilisait déjà la prêle des champs. La médecine ayurvédique lui attribuait des bienfaits. Aujourd’hui, c’est avant tout son extrait que l’on met en avant pour sa grande teneur en silice et en saponines.
Le corps perd très rapidement sa faculté à créer de la silice par lui-même. En effet, c’est entre 18 et 20 ans que l’humain en stoppe la production, et commence à puiser en elle sans la renouveler. Il est donc important de trouver dans la nature un complément pour pallier ce manque.
Il y a plus de 3 000 ans, les Egyptiens utilisaient la propolis pour la préparation des onguents et la momification des morts. Avec le temps, on oublie que les soldats et les ouvriers sujets aux blessures infectieuses en transportaient toujours pour les premiers soins.
Fabriquée à partir de diverses résines collectées sur les bourgeons et l’écorce des arbres (surtout sur les peupliers et les conifères), la propolis joue un rôle hygiénique dans la ruche en créant une couche protectrice contre les invasions microbiennes et fongiques.
Sa couleur peut varier du jaune clair au brun très foncé, presque noir, en passant par toute une gamme de bruns suivant les types de résines recueillies par les abeilles ouvrières. Son goût est âcre, voire amer.
Le plasma marin, aussi appelé eau de Quinton, a été découvert par le biologiste français René Quinton à la fin du XIXème siècle. Il a découvert que le plasma sanguin et le plasma marin présentaient une composition similaire concernant la présence d’oligo-éléments. Le plasma marin hypertonique (eau de mer pure à 100%), comme nous le proposons, est riche en magnésium, c’est pourquoi il est souvent conseillé de le diluer à de l’eau de source pour en faire une version isotonique.Les minéraux du plasma marin sont bio-disponibles, de ce fait le corps les assimile très facilement. …
C’est en 1980 que Jacob Harich, médecin et physicien émigré aux Etats-Unis, jardinier à ses heures, remarqua que les pépins de pamplemousse ne pourrissaient pas sur son compost. Il les étudia alors dans son laboratoire où il apparut rapidement que les graines de pamplemousse recélaient une substance biocide.
Nous restons à votre disposition au 02 43 87 58 92.…